novembre 30, 2021 · Non classé · Commentaires fermés sur De nouveaux avions de combat

Le 13 février 2014, tour en avion de chasse le journal de boulevard franco-genevois Le Temps en rajoute une couche et dévoile sa véritable nature de cheval de Troie au sein de la Confédération. Ce journal s’attaque frontalement à Ueli Maurer et lui reproche de n’avoir pas choisi un avion plus cher qui n’aurait rien rapporté à la Suisse en terme d’emploi. Le journal continue sa diatribe anti-Gripen en revenant sur les 98 améliorations que la firme SAAB a déjà apporté à son Gripen. Le journal s’attaque aussi à la communication de l’ancien président de la Confédération. Le 25 janvier 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps révèle sur son site web que des activistes suédois ont trouvé des documents entre la firme SAAB et le gouvernement fédéral. Le 14 janvier 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site web que les Suisses voteront sur l’acquisition de 22 Gripen et se réjouit de cette possibilité d’affaiblir le Pays. Pour une meilleure résistance aux hautes vitesses supersoniques, la voilure a été dotée d’un troisième longeron. Déplacement des aérofreins vers le dessous des entrée d’air. La roulette de nez se replie vers l’avant et comporte deux pneus à basse pression. Pour cela, il est le premier avion de chasse au monde à avoir adopté un radar à balayage électronique, en l’occurrence le SBI-16 Zaslon, capable de détecter 10 cibles et d’en engager 4 en même temps. 70° -60° en site. Une patrouille de quatre avions peut interconnecter ses radars pour surveiller une zone de 560 km de large, le leader de la patrouille pouvant assigner une cible à chaque équipier. Enfin, le MiG-31 peut être dirigé automatiquement vers sa cible depuis une station au sol ou un avion de type AWACS. Le MiG-31 possède également un détecteur infrarouge rétractable. Le système de navigation installé à bord ainsi que la perche de ravitaillement en vol permirent par exemple à un Foxhound d’effectuer un vol d’essai Mourmansk-Pôle Nord-Tchoukotka de plus de 8 000 km accompli en 8 heures et 49 minutes. En 1984, le bureau d’étude MiG commença une profonde modification du MiG-31. L’appareil, désigné MiG-31M, se différencie peu de la version de base extérieurement. La verrière du pilote est faite d’une seule pièce alors que les vitres latérales de l’opérateur sont plus petites. La surface des apex a été augmentée. A la place de l’ancien viseur infrarouge est installé un capteur optronique avec détecteur infrarouge et télémètre laser à l’avant du pare-brise. L’armée de l’air russe et celle du Kazakhstan sont actuellement les seuls utilisateurs du MiG-31. Après avoir envisagé l’achat de MiG-31 au début des années 1990, la Chine a finalement opté pour des Su-27 et Su-30. ]. En mai 2009, le contrat qui s’élève à 400-500 millions de dollars est gelé par la Russie, officieusement en raison de pressions israéliennes, selon une source proche de Rosoboronexport, l’agence russe d’export d’armes.

Le F-18 me direz-vous, cela fait presque 10 ans que l’on en entend parler. Cela était même devenu « l’arlésienne » de la simulation la bonne blague qui fait rire le soir avant de partir en vol avec le squad.. Et pourtant il est la sur mon écran, que de chemin parcouru, que d’attentes suscitées. Alors ce module vaut-t-il d’avoir patienté toutes ces années ? Et bien, à défaut de certitudes et de réponses fermes dues, car la version testée est bien loin d’être une version finale, nous allons tenter de vous éclairer sur le sujet … après la pub …(oups je m’égare) . Ce module est particulier car c’est le premier vrai module full ED ère moderne depuis le A-10C. Enfin full ED pas tout à fait en fait, Belsimtek a rejoint le navire pour aider ED à finir, avancer, terminer (rayer les mentions inutiles) ce projet capital. Ce module sert également a promouvoir la carte « Hormuz » et le futur « asset-pack » aéronavale. Le réglage de l’inclinaison de la caméra se fait via la molette à gauche de la télécommande. On appuie su le petit bouton en haut à gauche pour prendre les photos et en haut à droite pour prendre les vidéos. Un compteur s’affiche pour montrer la durée de l’enregistrement. Le retour vidéo se fait en quasi direct. Le retour vidéo se perd entre 40 et 250m. l’enregistrement continue, mais les boutons de prises de vues ne marchent plus jusqu’à ce que le drone revienne à portée. L’atterrissage : pour atterrir, on peut utiliser le mode « return to home » ou piloter le drone soit même. Avec l’effet de sol des hélices et les trains d’atterrissage rembourrés, l’atterrissage se fait en douceur. En dessous du drone et sous les moteurs, il y a des diodes. Les signaux lumineux envoyés par ces diodes renseignent sur l’état du drone en vol. Une brochure est fournie pour interpréter le langage de ces diodes, mais l’essentiel à retenir est que quand ça clignote, il y a un problème quelque part.

L’armée de l’air indienne a tiré pour la première fois le missile de croisière « Brahmos » d’un avion de combat le 22 novembre dernier. Le tir d’essai annoncé par le ministère de la Défense de l’Inde intervient presque 17 mois après que l’armée de l’air ait volé avec « Brahmos » à bord du Sukhoi Su-30MKI lors d’un test de portage captif. L’armée indienne a déjà déployé le missile « Brahmos », indo-russe depuis ses navires, mais le missile a nécessité plusieurs modifications pour la version aérienne. L’armée de l’air indienne a effectué des modifications logicielles sur le Su-30MKI et Hindustan Aeronautics a apporté les modifications électriques et mécaniques nécessaires à l’avion. La modification la plus difficile était d’optimiser l’alignement de transfert des capteurs inertiels. Soit un processus compliqué d’étalonnage des capteurs inertiels du missile à l’aide des données des systèmes de guidage de l’avion. Après avoir terminé le tir d’essai dans la baie du Bengale, l’armée indienne affirme que le « Brahmos » est maintenant le missile antinavire le plus rapide jamais lancé depuis les airs. Il s’est mieux comporté dans les missions air-sol, en ex-Yougoslavie ou en Arménie. Lorsque l’Allemagne réunifiée l’évalue, elle a la mauvaise surprise de constater qu’avec ses missiles et son viseur de casque, le MiG-29 est en mesure d’abattre la quasi-totalité des F-16 qui lui sont opposés. On ne sait donc plus s’il faut incriminer l’appareil ou bien ses pilotes, peut-être peu ou mal formés. Sans doute convient-il de relativiser et de rappeler qu’il s’agissait d’exemplaires de toute première génération et d’export (donc aux capacités dégradées). Ils étaient opposés à des avions de combat à l’électronique plus évoluée, soutenus par des AWACS, et dont les pilotes volent bien plus régulièrement. Concernant le MiG-29, le marché de l’occasion reste dynamique. La Moldavie a vendu la plupart de ses exemplaires, dont pas moins de 21 rien qu’aux Etats-Unis. Début 2010, le Liban s’en voit proposer 10 mais préfère finalement acquérir des hélicoptères Mi-24.

L’avenir ne s’annonce pas trop mal pour le Super Hornet de Boeing. La production de l’appareil devrait se poursuivre jusque dans les années 2020 et un important programme de modernisation est en cours de développement pour l’US Navy. La Marine américaine a commandé 12 F/A-18E/F en 2016 et négocie l’acquisition de 14 appareils supplémentaires pour l’année fiscale 2017. De son côté, le Koweit négocie actuellement l’acquisition de 28 appareils. Le Super Hornet Bk III changera d’apparence avec l’intégration de réservoirs conformes qui permettront d’augmenter l’autonomie du F/A-18 E/F. Le radar sera remplacé par l’APG 79 a balayage électronique de Raytheon. Les capacités de détection seront également accrues avec la possibilité d’emporter la nacelle IRST Block I et II permettant de faire de la poursuite de cibles à longue distance par infrarouge. Le Bk III comprendra aussi beaucoup d’améliorations en terme d’électronique. Le cockpit sera rénové avec un système tout écran et une meilleure vision de la situation tactique. Le Super Hornet Bk III sera équipé du système de guerre électronique IDECM Block IV. De nouvelles liaisons de données (TTNT et DTPN) devraient améliorer l’intégration avec les avions de conduite E-2, les Growler et le système de combat AEGIS de l’US Navy. Enfin la motorisation fera aussi l’objet d’une modernisation. Tous les aspects de cette modernisation n’ont pas encore été contractualisés. L’E/A-18G Growler, version destinée à la guerre électronique du Super Hornet sera également modernisé. On retrouvera les réservoirs conformes, l’amélioration de la motorisation, la modernisation du cockpit et les nouvelles liaisons de données. Le Growler sera aussi équipé d’un nouveau pod de brouillage (Next Generation Jammer) et le système ALQ-218 (Se trouvant en bout d’aile) sera aussi modernisé.

Sofitel marie art de vivre à la française et raffinement de la culture locale. Inspiré du temps jadis, le Sofitel Shenyang Lido allie les esthétiques orientale et occidentale dans un cadre exquis au raffinement contemporain. Idéalement situé dans le quartier des affaires, cet hôtel 5 étoiles compte 590 chambres luxueuses, trois restaurants épicuriens et un service sur mesure. Un thé chaud servi à l’arrivée est le premier signe de la magnifique hospitalité de Sofitel. Profitez d’une vaste chambre élégamment meublée. Plongez dans un bain relaxant et dormez paisiblement dans votre lit Sofitel MyBed. Une fois prêt à découvrir la ville, des boutiques et du divertissement haut de gamme ne sont qu’à quelques minutes. L’hôtel est renommé pour son personnel d’exception et sa minutie. Chaque jour à 18 h, les ambassadeurs et maîtres d’hôtel officient dans une cérémonie avec chandelles et musique douce. Ressourcez-vous et entamez votre soirée avec ce rituel apaisant. Caroline Fontenoy: Vous qui êtes un pro-européen, pourquoi avoir privilégié envers et contre tout un avion américain? Charles Michel: Parce que cet avion-là était le meilleur rapport qualité-prix. Il est 600 millions d’euros moins cher que ce qui est prévu. Et puis, surtout, il y a eu une procédure très longue, très lourde et très objective. On a donné la possibilité à toutes les agences étatiques de faire des offres, de faire des propositions. Malheureusement, c’était leur choix, les Français n’ont pas remis d’offre dans la procédure objective qui avait été lancée. Je veux aussi mettre en évidence que, si la décision est prise de commander des F-35, 30% des composantes de l’appareil seront fabriquées en Europe, c’est le premier élément. Deuxième élément: pour le reste, pour le matériel blindé, pour la marine également, ce seront des projets européens qui seront choisis. Et je veux être tout à fait clair: nous voulons choisir à la fois l’alliance européenne pour notre défense commune, ce qui est fait au travers des décisions qui sont prises. Nous voulons aussi considérer que les États-Unis restent un partenaire.

Cette catégorie comprend 454 fichiers, dont les 200 ci-dessous. RPG’ shoots down Santa? 110626-F-XH297-004 USAF Female F-15E Pilot Maj. 87-0183 MCD F-15E Eagle U.S. 89-0506 MCD F-15E Eagle U.S. A U.S. Air Force F-15E Strike Eagle aircraft assigned to the 335th Expeditionary Fighter Squadron taxis to its parking spot after a sortie Jan. A U.S. Air Force F-15E Strike Eagle aircraft assigned to the 335th Expeditionary Fighter Squadron taxis to its parking spot after a sortie Jan. A U.S. Air Force F-15E Strike Eagle aircraft waits to be cleared for takeoff by the air traffic control tower at Souda Air Base, Greece, during joint warfighting training with the Hellenic Air Force Feb. Blue Flag 2013. Ovda air base. Blue Flag 2013. Ovda air base. Blue Flag 2013. Ovda air base. Blue Flag 2013. Ovda air base. Air Force Tech. Sgt. Air Force F-15E Strike Eagle receives early morning maintenance at Bagram Airfield Afghanistan on Jan. Les diverses associations qui ont récupéré des Mirage F1 ces derniers mois sont les mieux placées pour imaginer le tour de force que représente ce déménagement dans un délai aussi court. Les Mirage F1 français vont jouer le rôle de plastron pour l’entrainement des pilotes de combat américains. Si l’US Navy et le Marine Corps ont externalisé cette fonction depuis une vingtaine d’années, en revanche l’US Air Force n’a pas encore franchi le pas. Elle s’apprête à le faire massivement. Un appel d’offre est en cours pour l’achat de 37.000 heures de vol chaque année, sur les dix ans à venir. Evidemment, les Mirage F1 ne pourront pas répondre seuls à une telle demande. C’est en fait une véritable armada que mettent en œuvre divers prestataires de services aux premiers rangs desquels figure Atac, filiale de Textron. Le F1 sera en effet un adversaire de bon niveau pour les pilotes de F-16, F-18, F-22 et même F-35. Pour l’US Air Force, le choix de faire appel à ce type d’avions, permet d’économiser le potentiel de ses propres avions, de réduire la facture et de ne pas gaspiller les heures de vol de ses propres pilotes.

novembre 26, 2021 · Non classé · Commentaires fermés sur La réputation et la réalité

La semaine dernière, j’ai répondu à l’aimable invitation du gouvernement caïmanais de prendre la parole lors de sa conférence sur la «Transparence fiscale dans l’écosystème mondial des services financiers» et de rencontrer le personnel de l’autorité monétaire, du bureau des statistiques et du registre des sociétés; et avec divers représentants de l’industrie, notamment ceux de l’association de la conformité et de Cayman Finance. Ci-dessus, une vidéo de ma présentation; et ici quelques réflexions sur les divergences entre réputation, rhétorique et réalité; et sur la situation actuelle.
Selon le dernier indice de secret financier de 2015, Cayman se classe au 5e rang. Cela reflète un degré élevé de secret financier: un score de 65 sur 100, où 100 indique un secret total; et une échelle importante: les îles représentent près de 5% de tous les services financiers fournis à l’échelle mondiale aux non-résidents. Des détails complets et un historique narratif de l’émergence de Cayman en tant que juridiction secrète sont fournis dans le rapport de l’indice de secret financier (FSI)
Sur les quatre juridictions se classant au-dessus de Cayman dans le FSI, trois ont une échelle similaire mais des scores de secret plus élevés: la Suisse (classée première), Hong Kong (2e) et Singapour (quatrième). Seuls les États-Unis, classés troisièmes, ont un score de secret inférieur à 60 – mais à une échelle beaucoup plus grande. Sur un classement pur par secret, les Caïmans se classeraient au 50e rang mondial – mais la grande majorité de ceux ayant des scores de secret plus élevés, comme Vanuatu ou les îles Cook, ne fournissent qu’une part négligeable des exportations mondiales de services financiers.
L’importance de Cayman entraîne donc une plus grande responsabilité en matière de transparence. L’autorité monétaire signale les Caïmans comme le principal domicile des fonds spéculatifs; le deuxième plus grand domicile captif offshore pour l’assurance dans son ensemble, et le plus grand pour les captifs d’assurance maladie en particulier; et avec un actif net total dans des fonds réglementés par les Caïmans de 3,575 billions de dollars au cours de l’exercice 2015 (plus de 5% de la valeur de toutes les actions cotées en bourse).
L’ampleur de l’argent traversant les îles Caïmans signifie que le secret offert à Caïman peut faire beaucoup plus de dégâts à l’échelle internationale, en favorisant les abus fiscaux et d’autres formes de corruption, que le secret plus élevé, par exemple, du Samoa (qui se classe au 51e rang du FSI ). De même, les États-Unis se classent au-dessus de Cayman au FSI malgré un score de secret légèrement inférieur, en raison de leur domination mondiale dans les services financiers.
Le même succès pour attirer des services financiers représente bien entendu également la plus grande menace pour les Caïmans. Telle est la dépendance à l’égard de ce secteur, non seulement les autres sont évincés, mais l’ensemble de l’économie est donc plus volatile (voir graphique). Les chercheurs du FMI constatent par conséquent que la croissance économique souffre dans les pays dont le secteur privé a un crédit supérieur au PIB. À Cayman, c’est depuis longtemps le cas. Et ces évaluations économiques ne touchent pas aux coûts politiques finalement plus élevés associés à la malédiction financière
La réputation ne correspond pas toujours aux faits. Il y a un grand sentiment d’injustice à Cayman qu’il semble toujours être le centre offshore nommé dans la télévision et le cinéma, presque aussi abrégé pour «c’est un peu douteux». «L’effet Grisham» est souvent blâmé pour cela, reflétant le rôle de premier plan de Cayman dans le film The Firm de 1991.
Toutes les personnes à qui j’ai parlé de l’industrie de la création d’entreprise ont fait la même remarque: les processus de diligence raisonnable et de vérification de la clientèle à Cayman sont nettement plus stricts que dans de nombreuses autres juridictions où leurs organisations opèrent (des exemples de pratiques laxistes incluent d’autres centres de la région, mais Pays-Bas et Royaume-Uni). «Eh bien, ils diraient que…», peut-être; mais bien sûr, cela correspond au type de preuves que Jason Sharman et ses collègues ont collectées au cours d’exercices de mystère sur la rigueur relative des fournisseurs de création d’entreprises dans différentes juridictions.
Bien sûr, l’argument devient moins convaincant lorsque la vérification supérieure est invoquée comme motif contre la publication des registres de propriété effective. Au contraire, la vérification par des tiers et la publication ouverte doivent être considérées comme des approches complémentaires, susceptibles de renforcer la qualité et la valeur ultimes des données. L’existence de mauvaises données dans le registre public du Royaume-Uni, par exemple, n’est pas un argument contre sa publication continue, mais en faveur d’une capacité accrue de Companies House à surveiller, vérifier et contester. Et l’existence de données potentiellement meilleures détenues en privé à Cayman ne fournit aucun argument contre la publication.
Au contraire, une telle qualité créerait une opportunité pour Cayman de faire preuve d’un véritable leadership parmi les centres offshore en devenant les premiers à mettre leurs données vérifiées dans un registre public. Le prix à payer pourrait être de perdre un peu d’activité moins réputée – mais l’avantage résulterait de la remise en cause de la réputation négative et de l’isolement des services financiers propres et à plus forte valeur ajoutée des dommages qui résulteraient d’un Panama Papers. -fuite de type.
La position déclarée du gouvernement (avec des élections en attente) et de l’industrie est que les Caïmans devraient attendre qu’il y ait une norme internationale stricte en place qui exige des registres publics. Une partie importante de la défense offerte pour cette approche est le manque total d’intérêt pour la transparence de la juridiction secrète au nord – c’est-à-dire les États-Unis. Beaucoup de gens avec qui j’ai parlé ont souligné la facilité avec laquelle les criminels peuvent établir et utiliser des structures anonymes dans plusieurs États américains – tandis que la pression et la mauvaise réputation restent très présentes à Cayman et dans d’autres juridictions plus petites.
À cet égard, il existe un terrain d’entente avec les travaux de TJN. Il n’y a pas de justice fiscale en battant des juridictions plus petites pendant que les principales économies continuent de pratiquer le secret, et pour cette raison, nous avons depuis longtemps mis en évidence les menaces de «  paradis fiscal USA  » et du réseau britannique de secret, et par le biais du Financial Secrecy Index, promouvoir l’utilisation de des critères objectivement vérifiables pour garantir des conditions équitables. Dans la même veine, voici un article de Cayman Finance (p.56) qui commence à comparer quelques centres financiers (le «G20 Plus») avec les membres du G20.
La conférence s’est en effet concentrée sur notre plateforme politique de longue date, l’ABC de la transparence fiscale:
Échange automatique et multilatéral d’informations fiscales
Propriété effective (registres publics des sociétés, trusts et fondations); et
Rapports pays par pays (publics).
Je ne pense pas que Cayman s’inscrira aux éléments publics en particulier de si tôt. Mais il y a quelques années, il y aurait eu un rejet total de tout cela – alors que j’ai pu féliciter le gouvernement d’avoir signé un échange automatique dans le cadre du CRS de l’OCDE (à partir de 2018); et sur l’engagement de mettre en place des rapports pays par pays (privés) dans le cadre du BEPS. À mi-chemin de l’ABC?
Il y aura peut-être juste un peu plus de compréhension mutuelle après la semaine dernière – un peu plus de conscience de la mesure dans laquelle nous partageons un intérêt pour des règles du jeu équitables, et un peu plus de clarté sur les exigences de transparence de la société civile et la base pour les faire . Parce que nous ne partons pas…
Mes notes d’allocution sont ici, et la vidéo en haut de la page. Voir également la présentation d’ouverture très intéressante de Pascal Saint-Amans, et un panel comprenant Radhanath Housden du Forum mondial entre autres, et la session de clôture